Une Famille de vignerons
Vignerons depuis 1840, la 7e et la 8e générations de la famille Ournac créent aujourd’hui les vins du Domaine Coudoulet.
Pierre-André et son frère Jean-Yves ont amorcé un changement profond du domaine familiale dans les années 80, en créant les premières bouteilles. D'importants investissements ont été réalisés dans le chai et des cépages hors du commun ont été plantés. Les techniques de culture et de vinification continuent d’évoluer avec l’arrivée de Guillaume, fils de Jean-Yves, puis Camille et Fanely, fils & fille de Pierre-André. Les vins du Domaine Coudoulet sont le reflet de ce travail intergénérationnel et restent fidèles à nos valeurs de vignerons. Nous cultivons nos vignes, élevons nos vins et les commercialisons nous-mêmes.
Camille Ournac
Guillaume Ournac
Pierre-André Ournac
Fanely Ournac
Un projet familial vivant, celui de co-créer les vins que l’on aime. Fort d’une grande expérience en mécanique agricole, Guillaume s’occupe avec Pierre-André du vignoble. Depuis 2017, Camille, œnologue a rejoint le Domaine. Formé en Bourgogne, il jouit d’une expérience internationale : Nouvelle Zélande (Yealands), Chili (Clos des fous) États-Unis (Gramercy), Afrique du Sud (Oak Valley), Italie (Avignonesi). Il s'occupe de la vinification et des ventes avec sa soeur Fanely. Cette dernière ingénieur en agriculture vient de rejoindre l’équipe après 10 ans dans les fruits bio.
Notre héritage
« Après la Révolution Française, les Ournac, sont devenus tonneliers à Ventenac-d’Aude dans le Minervois. Jean Ournac est parti à Toulouse créer son négoce de vin. Il a eu deux fils, Camille et Henri, qui avaient pour point commun un talent de caricaturistes qu’ils exerçaient sous les pseudonymes de Ka-Mill et Hen-Ry. Camille, élu maire de Toulouse, est à l’origine de la création en 1892 de la Salle des Illustres au Capitole, décorée exclusivement par des artistes toulousains dont Edouard Debat-Ponsan, par ailleurs auteur d’une belle scène de vendanges en Languedoc aujourd’hui au musée des Beaux-Arts de Nantes.
Henri, mon arrière-grand-père, a repris le négoce de vin de son père, puis par le jeu des successions, Yves, un de ses fils, un temps négociant en vin avec ses frères à Narbonne, s’est retrouvé au début des années 1930 à la tête de deux domaines, dont celui de Cesseras où il est venu s’installer pendant la guerre avec son épouse. Devenue veuve peu de temps avant la fin de la guerre, ma grand-mère a géré la propriété pendant trente-cinq ans ! »
Pierre-André Ournac
